Des dieux et des hommes T2
Entre chiens et loups
Dionnet, Roberto Baldazzini
Dargaud 2011
Deuxième tome pour cette saga de SF lancée cette année par notre scénariste illuminé préféré, (non, pas Jodorowski !), amateur de séries z et grand amateur de vintage*, Jean Pierre Dionnet.
Pour cette "suite" d'une histoire dont on ne voit pas encore tous les tenants et les aboutissants : un nouveau dessinateur ! C'est le principe, ...et un bon ! car le trait de Roberto Baldazzini est tout a fait convaincant. Sorte de mélange improbable entre Charle Burns et Walter Minus, son style se marie parfaitement à cet épisode mettant en scène une fausse déesse a la tête d'une communauté hippie en plein milieu du désert. Escortée au passage par une bande d'hommes en noir armés de valises tireuses de flèches a embout ronds (...!?)
...Fausse déesse qui se prend pour ce qu'elle n'est pas; ce qui finalement va bien à ce dessinateur italien habitué au détournement sexuel de superbes poupées de papier glacé.**
En tous cas un bon choix de Dionnet, qui devrait permettre grâce à cette série plus grand public d'élargir le lectorat de ce dessinateur au trait agréable .
...Les facultés générales de cette saga à nous proposer autre chose que du ressassé, et a emmener le lecteur dans des contrées hallucinogènes peu fréquentées permettent de se dire que l'on continuera a suivre avec le plus grand intérêt ce titre quelque peu étrange.
On verra plus tard ce que l'ensemble donne et si le plan de départ sensé être homogène a été respecté... En attendant, "suivons la voie du seigneur des mouches !".
* Lire la chronique du premier tome de la saga.
** Roberto Baldazzini est surtout connu aujourd'hui pour ses œuvres érotiques "transformistes" (voire pornographiques ?) stylisées. Pour les plus de dix-huit ans, une note à lire entre autre sur le blog Un monde de bulles.
Entre chiens et loups
Dionnet, Roberto Baldazzini
Dargaud 2011
Deuxième tome pour cette saga de SF lancée cette année par notre scénariste illuminé préféré, (non, pas Jodorowski !), amateur de séries z et grand amateur de vintage*, Jean Pierre Dionnet.
Pour cette "suite" d'une histoire dont on ne voit pas encore tous les tenants et les aboutissants : un nouveau dessinateur ! C'est le principe, ...et un bon ! car le trait de Roberto Baldazzini est tout a fait convaincant. Sorte de mélange improbable entre Charle Burns et Walter Minus, son style se marie parfaitement à cet épisode mettant en scène une fausse déesse a la tête d'une communauté hippie en plein milieu du désert. Escortée au passage par une bande d'hommes en noir armés de valises tireuses de flèches a embout ronds (...!?)
...Fausse déesse qui se prend pour ce qu'elle n'est pas; ce qui finalement va bien à ce dessinateur italien habitué au détournement sexuel de superbes poupées de papier glacé.**
En tous cas un bon choix de Dionnet, qui devrait permettre grâce à cette série plus grand public d'élargir le lectorat de ce dessinateur au trait agréable .
...Les facultés générales de cette saga à nous proposer autre chose que du ressassé, et a emmener le lecteur dans des contrées hallucinogènes peu fréquentées permettent de se dire que l'on continuera a suivre avec le plus grand intérêt ce titre quelque peu étrange.
On verra plus tard ce que l'ensemble donne et si le plan de départ sensé être homogène a été respecté... En attendant, "suivons la voie du seigneur des mouches !".
* Lire la chronique du premier tome de la saga.
** Roberto Baldazzini est surtout connu aujourd'hui pour ses œuvres érotiques "transformistes" (voire pornographiques ?) stylisées. Pour les plus de dix-huit ans, une note à lire entre autre sur le blog Un monde de bulles.
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