Joe l'aventure intérieure
Grant Morrison/Sean Murphy
Urban comics
Octobre 2012
Comics particulier ce que Joe the barbarian, (titre original), fleurtant vers la SF tendance enfantine, mais avec un côté hallucinatoire (féérique ?) quelque peu adulte et dramatique.
Le mag Comicbox, dans son n°79 décrit rapidement le terreau des influences de cette histoire (Little nemo, Mice templar, Tellos...), mettant en scène un garçon diabétique, qui vit isolé auprès de ses pairs collégiens, et qui se réfugie dans un monde imaginaire :
Les soldats de la chambre où il se réfugie, dans les combles de sa maison, prennent vie, tout comme Jack, son rat domestique.
Tous ces personnages deviennent les soldats d'un film d'heroic fantasy dans lequel Joe va apprendre à combattre, à se révéler.. mais sans super héroisme.
C'est justement ce qui différencie Joe d'autres comics du genre.
J'aurais rajouté "Bucky" aux influences déjà citées, et aurais aussi tendance pour ma part à le rapprocher de l'univers de The Books of magic de Neil Gaiman, sans doute pas cité par Comic box, car...(toujours) pas traduit en français. (...)
Il n'en reste pas moins, que malgré un sentiment de trop plein (de personnages entre autres, et sur un nombre de pages (trop ?) élevées), Joe l'aventure intérieure offre dans l'ensemble un bon moment de divertissement coloré, sans facilités.
Et c'est déjà pas mal.
Lire les notes et des bonus graphiques de Sean Murphy sur le site Urbancomics.
Grant Morrison/Sean Murphy
Urban comics
Octobre 2012
Comics particulier ce que Joe the barbarian, (titre original), fleurtant vers la SF tendance enfantine, mais avec un côté hallucinatoire (féérique ?) quelque peu adulte et dramatique.
Le mag Comicbox, dans son n°79 décrit rapidement le terreau des influences de cette histoire (Little nemo, Mice templar, Tellos...), mettant en scène un garçon diabétique, qui vit isolé auprès de ses pairs collégiens, et qui se réfugie dans un monde imaginaire :
Les soldats de la chambre où il se réfugie, dans les combles de sa maison, prennent vie, tout comme Jack, son rat domestique.
Tous ces personnages deviennent les soldats d'un film d'heroic fantasy dans lequel Joe va apprendre à combattre, à se révéler.. mais sans super héroisme.
C'est justement ce qui différencie Joe d'autres comics du genre.
J'aurais rajouté "Bucky" aux influences déjà citées, et aurais aussi tendance pour ma part à le rapprocher de l'univers de The Books of magic de Neil Gaiman, sans doute pas cité par Comic box, car...(toujours) pas traduit en français. (...)
Il n'en reste pas moins, que malgré un sentiment de trop plein (de personnages entre autres, et sur un nombre de pages (trop ?) élevées), Joe l'aventure intérieure offre dans l'ensemble un bon moment de divertissement coloré, sans facilités.
Et c'est déjà pas mal.
Lire les notes et des bonus graphiques de Sean Murphy sur le site Urbancomics.
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